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[Cinéma] Mon avis sur Big Bad Wolf / L’Ordre du Loup

Titre Original : Big Bad Wolf
Date de sortie (France) : 06/07/2009
Date de sortie (USA) : 25/10/2006
Réalisé par : Lance W. Dreesen
Avec : Trevor Duke-Moretz, Kimberly J. Brown, Richard Tyson, Sarah Aldrich, Christopher Shyer
Durée : 1h35

Synopsis : Derek, un étudiant timide de première année se rend au chalet de son beau-père pour y faire la fête avec ses amis et Sam, sa petite amie. Mais les festivités tournent au massacre quand ils sont attaqués par un loup-garou. Derek et Sam arrivent à s’échapper des griffes de la bête. Ils ne vont pas tarder à découvrir un terrible secret quant aux origines du monstre.

Bande-Annonce

Mon avis : L’Ordre du Loup fait parti des quelques films de loups-garous que je me suis achetés dernièrement pour compléter ma collection sur ce thème =) Je dois dire qu’au vu de la bande-annonce et du résumé, au pitch ultra-classique, je n’en attendais pas grand chose, et tant mieux.

Côté histoire, un début peu original, où on nous introduit le héros, Drake, qui s’apprête à partir avec ses amis faire la fiesta dans la cabane de son beau-père, perdue au milieu de nul-part. Franchement, ils n’auraient pas pu aller ailleurs pour faire la fête lol ? Néanmoins, j’ai été surpris, car je m’attendais à ce que cette histoire de soirée tournant au massacre par un loup-garou constitue l’ensemble du film. Or, il n’en est rien, puisque cet évènement n’accapare que les 1/4 du long-métrage. Concernant la suite des évènements, il s’agira pour Derek et son amie Sam de découvrir qui se cache derrière le loup-garou ! Malheureusement, là où on pouvait s’attendre à devoir tenter de percer le mystère jusqu’à la toute fin, le scénario se contente de nous livrer assez rapidement l’identité du coupable, ce qui casse un peu la tension du film. Dans l’ensemble, l’histoire est par moment assez lente et peu rythmée, et c’est le principal défaut du film.

L’autre grand défaut, c’est le loup-garou en lui-même. Alors certes, le film affiche son originalité par le fait que ce lycanthrope puisse parler en étant transformé, et ce dernier s’avère être assez pervers sur les bords, ce qui donne lieu à quelques moments comiques faisant lorgner le film du côté de la comédie horrifique. L’idée aurait été bonne si le design du loup-garou n’avait hélas pas été aussi moisi ! Il est tellement ridicule qu’il n’inspire aucune crainte, et prête même plutôt à rire (après tout, c’était peut-être le but recherché ?). Néanmoins, on peut saluer l’effort des costumiers d’avoir opté pour des effets pratiques plutôt que de tomber dans le tout virtuel. D’ailleurs, une seule scène a recours aux images de synthèse, celle d’une brève transformation (assez peu réussie d’ailleurs, la faute sûrement à budget très serré).

Côté casting, on se retrouve clairement avec des acteurs de seconde zone, voire de troisième zone. Rien de transcendant dans le jeu, mais on retiendra tout de même les prestations sympathiques de Kimberley J. Brown (Sam), un poil rebelle, et de Sarah Aldrich, peu présente mais touchante.

N’espérez pas non plus grand chose de la mise en scène qui est plutôt banale et sans prise de risque, tout comme la bande-son n’ayant rien de fantastique. Toutefois, les amateurs de gore seront servis avec quelques beaux moments sanglants !

En conclusion, un film de loup-garou Direct-to-Video qu’il faut voir si vous aimez le sujet, mais n’en attendez pas grand chose. Il reste sympathique, mais les autres seront sûrement déçus.

P.S. : Fun-fact assez drôle, l’acteur principal, Trevor Duke-Moretz, est le grand frère de l’actrice Chloë Grace Moretz (Kick-Ass, La 5ème Vague, etc.) !

[Cinéma] Mon avis sur Howl

 

Titre Original : Howl
Date de sortie (France) : 10/01/2017
Date de sortie (USA) :16/10/2015
Réalisé par : David Hayter
Avec : Ed SpeleersHolly WestonShauna MacdonaldElliot CowanSam Gittins
Durée : 1h29

Synopsis : Dans un train de banlieue londonienne, à la tombée de la nuit, le voyage se transforme en cauchemar lorsqu’un jeune contrôleur et un groupe de voyageurs se retrouvent à devoir lutter à mort contre une créature maléfique et terrifiante …

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Mon avis : Nouvelle chronique sur un film de loups-garous, le récent Howl, qui nous vient tout droit du Royaume-Uni. J’entends parler de ce long-métrage depuis sa sortie là-bas, mais je n’avais pas encore eu l’occasion de le visionner. En ayant entendu de bons échos, je me suis décidé à me le prendre sur Amazon.

Grosse déception et incompréhension tout de même, le film n’est disponible qu’en DVD en France ! J’ai été assez ébahi de découvrir qu’en France, en 2017, un éditeur pouvait encore sortir un film récent uniquement en DVD. Pas même une version Blu-Ray ! Et à l’heure de la haute-définition, ça devrait même plutôt être l’inverse, ce film ne devrait être dispo qu’en Blu-Ray. Franchement, à part quelques irréductibles, tout le monde est passé à ce format. On a l’impression de revenir dix ans en arrière Oo. D’autant plus que la seconde déception, c’est la qualité de l’image sur ce DVD : elle est vraiment dégueulasse durant certains passages, et on sent bien que le film a été compressé. Une version haute-définition aurait permis d’ajouter plus de détails et d’éviter ces désagréments malvenus, surtout en 2017.

Bon, pour passer ce petit problème, sachez que j’ai passé un excellent moment devant Howl ! Les britanniques nous ont habitué depuis plus d’une décennie à quelques beaux bijoux horrifiques, parmi lesquels Dog Soldiers, The Descent ou encore Doomsday pour ne citer qu’eux. Et cette tendance se poursuit avec Howl.

Avant le visionnage, il faut tout de même savoir que ce film a été réalisé avec un budget assez serré, et pourtant, il s’en sort à merveille. En effet, doté d’une ambiance sombre, d’une situation effrayante à souhait (qui rêverait que son train tombe en panne au beau milieu d’une forêt en rase campagne ?), ainsi que d’un casting convaincant, le film a tout pour plaire aux amateurs de loups-garous.

Les scénaristes ont fait le pari de proposer cette situation originale, et ça paye. L’histoire fonctionne très bien, et rapidement, nous sommes plongés dedans, impatients de découvrir ce qui va bien pouvoir arriver à ce groupe de passagers pris au piège. Car les pauvres ne vont en effet pas tarder à découvrir que leur train, en plus d’être à l’arrêt, est également pris d’assaut par un loup-garou meurtrier. Les personnages principaux sont assez bien développés avec un minimum de background, et le film excelle à montrer comment chacun peut réagir dans ce genre de situations : garder son calme, piquer une crise, s’en prendre aux autres, s’échapper, sacrifier autrui. Finalement, le loup-garou dépeint n’est pas la seule menace présente, puisque le comportement de chaque protagoniste l’est tout autant.

La réalisateur Paul Hyett met en scène avec brio cette trame, créant une ambiance ténébreuse et angoissante, celle de la forêt nocturne, abritant mille et une créatures de nos cauchemars les plus sombres. Cela n’a pas dû être évident de tourner les trois quarts du film dans un train reconstitué, et pourtant, ça reste crédible, d’autant plus que la tension monte d’un cran lorsque le loup-garou commence à assiéger puis à vouloir pénétrer dans le train pour croquer ces chers passagers.

Le casting est constitué de Ed Speelers, notamment vu dans Eragon ou plus récemment dans Downton. Parmi les têtes connues, on retrouve également Shauna Macdonald, héroïne inoubliable du diptyque The Descent. Fait également une brève apparition Sean Pertwee, qui a déjà combattu les loups-garous dans Dog Soldiers, mais dont le destin est ici rapidement scellé. Dans l’ensemble, le casting est convaincant, et chaque acteur parvient à nous faire ressentir l’ambiance étouffante en huit-clos du train en panne.

Côté musique, celles-ci sont assez discrètes mais efficaces dans les moments clefs. On retiendra  le thème principal, très joli.

Au niveau des loups-garous, leur design est assez recherché pour un film à petit budget, et celui-ci ne sombre nullement dans les faux-pas qu’ont pu commettre certains autres films du même genre dernièrement, avec des lycanthropes ridicules (Wolves, The Howling : Reborn). Le réalisateur a souhaité que les loups-garous conservent une apparence humaine, tout en incorporant certaines caractéristiques animales. Point de museau allongé, mais une gueule béante remplie de crocs garnis ainsi que des jambes musclées et lupines, le tout accompagné d’un physique imposant ainsi que d’yeux jaunes brillants qui donnent lieux à quelques scènes bien creepy dans les ténèbres de la forêt.

Dans l’ensemble, j’ai trouvé ce petit bijou sans prétention très original et intéressant. Cela faisait longtemps que je n’avais pas autant pris mon pied devant un film de loups-garous (probablement depuis Underworld et Dog Soldiers), et je vous le recommande chaudement ! L’ambiance est angoissante, les moments de gore ne sont pas oubliés, la tension monte crescendo, et on a même le droit à quelques rebondissements qui jalonnent le film. Bref, un excellent cocktail, on en redemande !

[Cinéma] Mon avis sur Wolves

Titre Original : Wolves
Date de sortie (France) : 03/03/2015
Date de sortie (USA) :14/11/2014
Réalisé par : David Hayter
Avec : Lucas Till, Jason Momoa, Merritt Patterson, Stephen McHattie
Durée : 1h31

Synopsis : Contraint de prendre la route après le meurtre de ses parents, Cayden erre, perdue, sans but … Jusqu’à ce qu’il rencontre un fou nommé Wild Joe, qui le met sur la route de la sinistre ville de Lupine Ridge, où il traquera les vérités de son histoire. Mais le chasseur ne finira-t-il pas par être le chassé ?

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Mon avis : Nouvelle petite chronique sur un film de loups-garous, plus précisément Wolves. Ce film nous vient du réalisateur David Hayter, surtout connu en tant que scénariste de X-Men 2 et Watchmen. Il signe également ici le scénario de ce film lycanthrope.

Les prémices de l’histoire sont des plus classiques : Cayden, le héros, ne tarde pas à découvrir qu’il est un loup-garou, après avoir notamment massacré sa famille adoptive sans le vouloir. Cayden va alors prendre la fuite et tenter de percer le mystère de ses origines en se rendant à Lupine Ridge, ville où réside une ancienne assemblée de loups-garous dirigée par Connor, l’Alpha.

J’ai moyennement apprécié ce film, pour plusieurs raisons. La mise en scène est tout à fait banale et le réalisateur ne s’est pas vraiment foulé. Mais le pire reste à mon sens le design des loups-garous eux-même qui est franchement ridicule, et peu effrayant. Ils tiennent plus du Sasquatch que du lycanthrophe. Mais bon, voyons le côté positif des choses : au moins on ne se tape pas les sempiternels « simples » loups que l’on croise trop souvent dans les séries et les livres, et qui, à mon sens, n’ont rien de loups-garous !

Le jeu des acteurs est passable. Lucas Till s’en sort plutôt bien en jeune loup-garou perdu. Jason Momoa surjoue un peu trop son rôle d’Alpha à tel point que ça en devient parfois grotesque, même s’il dégage une certaine prestance. Stephen McHattie est plutôt convaincant. Quant à Merritt Patterson, je l’ai trouvée plate.

Le scénario, malgré quelques rebondissements arrivé au dernier tiers, ne casse pas trois pattes à un canard. Il y a tout de même un semblant de développement sur la mythologie lycanthrope dans le film, ce qui est tout de même le minimum pour un long-métrage portant sur cette thématique. L’histoire n’est hélas pas exempte de quelques moments bien clichés et bidons. Les scènes de combat sont plus au moins bien chorégraphiées, ce qui relève un poil le niveau. La bande sonore m’a laissé indifférent. À vrai dire, on ne le remarque pas vraiment, et je n’ai pas retenu de compositions mémorables.

Pour être franc, Wolves m’a plutôt fait penser à un épisode de série de style Teen Wolf, mais en version long-métrage, et en moins bien. On sent un cruel manque de budget derrière tout ça, ce qui est dommage car l’idée de base avait malgré tout un certain potentiel. Mais un manque de budget ne signifie pas forcément que les choses doivent forcément être mauvaises. Il suffit de regarder, par exemple, l’excellent Dog Soldiers de Neil Marshall pour s’en convaincre.

Bref, vous l’aurez compris, Wolves ne m’a pas vraiment impressionné. Le film ne cherche pas à réinventer les codes de la mythologie lycanthrope, et j’aurais apprécié une ambiance un poil plus sombre et horrifique.

Si vous avez également visionné ce film, n’hésitez pas à laisser votre avis en commentaire 😉

[Cinéma] Mon avis sur The Howling : Reborn (Full Moon Renaissance)

Titre Original : The Howling : Reborn
Date de sortie (France) : 02/05/2012
Date de sortie (USA) : 18/10/2011
Réalisé par : Joe Nimziki
Avec : Landon Liboiron, Lindsey Shaw, Ivana Milicevic
Durée : 1h28

Synopsis : À la veille de l’obtention de son diplôme de fin d’études, le solitaire Will Kidman sort enfin avec la fille de ses rêves, Eliana Wynter. Mais il découvre au même moment un sombre secret en rapport avec son passé. En effet, Will appartient à un clan de lycanthropes et il est sur le point de se transformer en loup-garou. Une meute désire justement le tuer, lui et sa nouvelle petite amie …

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Mon avis : Étant un grand fan de loups-garous, je vais tâcher dans les semaines à venir de livrer quelques avis sur des films dédiés à ce sujet. Aujourd’hui, je vais vous parler de The Howling : Reborn (stupidement renommé Full Moon Renaissance en France …), qui est en réalité le huitième opus de la célèbre saga Hurlements, initiée avec l’excellent premier volet culte de Joe Dante en 1980. J’ai été assez surpris en 2011 de découvrir qu’un nouveau film allait sortir, puisque le dernier, le très oubliable The Howling VII : New Moon Rising, était sorti en 1995, seize ans auparavant.

J’ai enfin eu l’occasion de voir ce film il y a quelques jours. Je l’ai trouvé pour pas trop cher sur Amazon en Blu-Ray, et il rejoint donc ma collection de films de loups-garous (j’en ai profité pour faire une razia sur les derniers films sortis dans ce registre).

Ayant vu presque tous les précédents films, sauf le troisième et le sixième dont je n’ai pu visionner que quelques extraits, et ayant également lu les trois romans de Gary Brandner dont est issue la saga, je dois dire que mon avis est en demi-teinte.

D’abord, commençons par éclaircir deux points : au début, dans le générique introductif, on nous précise que le film est basé sur le second roman de Gary Brandner, The Howling II : Return of the Howling. Vraiment ? Je n’ai absolument constaté aucun point commun entre les deux oeuvres ! Aucun personnage, ni aucune intrigue du second livre n’est reprise dans ce film. Je me demande donc si cette mention n’était surtout pas là pour faire le lien avec le reste de la saga.

Car oui, cette mention est bien la seule qui puisse faire un lien. L’histoire ne fait référence à aucun des opus précédents, à tel point qu’on pourrait qualifier ce huitième volet de « reboot ». Dommage, un petit clin d’oeil au premier épisode et à Karen White aurait été sympathique.

En même temps me direz-vous, les précédents opus ne faisaient pas non plus forcément de liens entre eux, hormis les deux premiers films, et le septième qui reprend un personnage clef des opus 4, 5 et 6 dans son cliffhanger final.

Côté histoire, le film étant sorti vers la fin de la période où Twilight était en vogue, on sent que les scénaristes sont partis s’inspirer de ce côté là, puisque le casting est principalement composé de jeunes acteurs, le tout évoluant autour d’une histoire d’amour, mêlé à l’apparition de personnages mystérieux. J’ai d’ailleurs été surpris de découvrir que l’acteur principal était le même que celui qui joue le gitan lycanthrope dans Hemlock Grove. Ce n’était donc pas son premier rôle de loup-garou lorsqu’il a commencé cette série ^^ On se retrouve donc dans une situation assez typique qui se déroule dans un lycée, où Will Kidman va tomber amoureux de la jolie Eliana. Will ne va pas tarder à découvrir qu’il est issu d’une lignée de loups-garous, et qu’il se transformera à la prochaine pleine lune. Il va devoir faire face à un gang de lycanthropes adverse qui a un plan diabolique derrière la tête.

La mythologie du loup-garou est très peu développée, et ne s’accorde pas forcément avec les codes des anciens opus, puisque dans The Howling, les loups-garous sont censés pouvoir se transformer à volonté, et pas seulement durant la pleine lune (m’enfin, ça ne serait pas la première fois que des éléments de la mythologie divergent entre deux opus). Quant à leur design, il y a une certaine recherche, et ils sont plutôt réussis, mais le bas de leur costume est vraiment ridicule (le haut du corps est presque exempt de poils, tandis que les jambes et le bas ventre en sont recouverts, on dirait une espèce de pantalon). Par contre, on ne peut que saluer l’effort des créateurs qui ont en grande majorité utilisé ces combinaisons et des effets pratiques plutôt que des images de synthèse, ce qui donne un côté old school plus que bienvenu dans l’ère du tout numérique. Par contre, ne vous attendez pas à voir énormément les loups-garous, on les croise surtout vers le dernier tiers du film.

Au niveau de la mise en scène, pour un direct-to-DVD, la première moitié du film s’avère vraiment sympathique, je ne m’y attendais pas. On a le droit à quelques plans, mouvements et cadrages très inspirés, notamment durant la séquence de la soirée underground. De manière générale, la réalisation est plus que correcte pour les séquences classiques. Par contre, là où le bas blesse, et cela se ressent surtout dans le dernier tiers du film, c’est la réalisation des séquences d’action. Une catastrophe ! Les plans sont très saccadés, parfois incompréhensibles, voire complètement grotesques. La faute à un budget probablement très serré, qui ne permettait pas de mettre en place des scènes d’action travaillées, à la Underworld dans le même registre par exemple. Cette mise en scène est sans doute là pour servir de cache-misère.

En ce qui concerne la prestation des acteurs, heureusement elle est plus que correcte. Landon Liboiron s’en sort plutôt bien dans son rôle de personnage principal. Lindsay Shaw quant à elle parvient à semer le doute dans nos têtes au sujet de sa véritable nature, et pour finir j’ai trouvé Ivana Miličević diablement sexy et provocante dans son rôle d’enfoirée de service.

Dernier point, la bande-sonore, qui était elle aussi assez chouette ! En plus de la musique principale, composée par Christopher Carmichael et Mark Yaeger, on retrouve pas mal de musiques de groupes et chanteurs indépendants peu connus qui collent bien à l’ambiance. Ça m’a permis de découvrir notamment la chanteuse Azam Ali et ses musiques envoûtantes Smile

Pour conclure, The Howling : Reborn part d’une bonne idée assez intrigante (je ne veux pas la spoiler) révélée vers le derniers tiers. Le réalisateur s’en sort plutôt bien dans la majeure partie du temps, comme les acteurs. Malheureusement, je pense que ce qui a ruiné le film, c’est probablement le gros manque de moyen, qui a empêché de développer correctement le tout et de créer de bonnes séquences d’action qui auraient assurément relevé le niveau ! Ce qui donne un résultat assez moyen et passable. À voir quand même si vous êtes fan de loups-garous Wink La fin étant ceci dit très ouverte, je me demande si on aura un jour droit une suite …